LOS! N.73 - LA FAST CARRIER FORCE
Codice: 507003073
Au sommaire du n°73 - Mai/Juin 2024
+ La bataille du banc de Skerki
Dernier affrontement sur la « route de la mort »
Fin 1942, pour ravitailler Rommel piégé en Tunisie, la Regia Marina doit emprunter, avec des moyens limités, un axe constamment surveillé par l’ennemi. Malgré les dangers encourus, elle décide de faire appareiller simultanément plusieurs convois fortement escortés. Cela aboutira au dernier grand engagement naval de Méditerranée entre des unités de surface britanniques et italiennes.
+ La Fast Carrier Force
L’atout maître de l’US Navy dans le Pacifique
Dans le Pacifique, à partir de décembre 1941, la Marine impériale japonaise puis l’US Navy démontrent la souplesse d’emploi et la puissance de feu des groupes aériens embarqués. Leurs escadres regroupant plusieurs porte-avions opérant de concert constituent une révolution de la guerre navale dont les effets perdurent aujourd’hui. Entre 1943 et 1945, leur puissance industrielle et l’efficacité de leur organisation permettent aux Américains de doter la Pacific Fleet de groupes aéronavals performants qui leur ouvrent la route du Japon ; ces escadres (Task Groups) constituent la Fast Carrier Force.
+ Les neuf jours de Dunkerque
Le déroulé de l’opération « Dynamo »
Le 10 mai 1940, la Wehrmacht envahit la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas et la France. Dix jours plus tard, les Panzer menacent Calais et Boulogne. La position alliée devient intenable et les premiers ordres sont donnés en vue d’un rembarquement de la British Expeditionary Force (BEF). L’évacuation de Calais et de Boulogne est alors assurée par huit destroyers britanniques et trois contre-torpilleurs français, parmi lesquels le Wessex est perdu le 24 mai dans une attaque aérienne.
+ Les sous-marins d’attaque américains de la Guerre froide (2e partie)
Le chemin emprunté par l’US Navy jusqu’au Graal de la classe Los Angeles a été semé d’embuches politiques et technologiques qu’il lui a fallu surpasser une à une au cours des trois dernières décennies de la Guerre froide. Contre vents et marées, le vice-amiral Rickover, père du programme nucléaire naval américain, a imposé sa vision de ce que devait être un SNA moderne : un bâtiment discret, rapide et polyvalent.
+ Frégates !
La classe Duke (Type 23)
Les premières unités polyvalentes lance-missiles font leur apparition dans les années 1950 sous la dénomination de frégates. De mieux en mieux armées et équipées, elles s’alourdissent et deviennent furtives dans les années 1990. Au début du XXIe siècle, elles constituent le fer de lance des flottes modernes. Ces grands navires de surface sont parfois baptisés « destroyers », par exemple au Royaume-Uni et aux États-Unis, et sont alors un peu plus lourds bien qu’ils soient conçus pour remplir des missions similaires. À chaque numéro, cette rubrique présente une classe de frégates actuellement en service.
+ Actualités
L’Ukraine revendique la destruction du patrouilleur le plus récent de la flotte russe de la mer Noire
L’Allemagne propose à la Norvège de coopérer sur le projet de future frégate de défense aérienne F127
Le gouvernement néerlandais confirme le choix du français Naval Group pour construire quatre sous-marins
La Chine confirme la construction d’un quatrième porte-avions
Naval Group a livré à la Marine nationale la dernière frégate La Fayette « rénovée »
L’Australie a écarté d’emblée le français Naval Group pour la construction de onze frégates polyvalentes
FRANCESE
Riccamente illustrato
21 x 30