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LIGNE DE FRONT N.43 - OBJECTIF KONIGSBERG

Codice: 507007043

€ 10,00

Bimestrale,ben illustrato, dedicato ai conflitti del 20° secolo.

IN QUESTO NUMERO:

+ Objectif Konigsberg

La conquête de la Prusse-Orientale

Janvier 1945. Conjointement à sa poussée sur Berlin, l’Armée rouge part à l’assaut de la province allemande de Prusse-Orientale, berceau du nationalisme prussien. Commencent alors des combats parmi les plus acharnés de la fin de la Seconde Guerre mondiale, dont le plus emblématique restera le sanglant siège de Königsberg, au cours duquel la Wehrmacht se battra jusqu’au bout...

+ 442nd Regimental Combat Team

L’histoire des troupes nippo-américaines

« Ils ont été superbes ! C’est ce mot qui les décrit le mieux : superbes ! Ils ont subi des pertes terribles, ont montré un courage rare et un esprit combatif inébranlable. On ne saurait trop en dire sur les performances de ces bataillons ; tout le monde les voulait. »

Général Marshall

+ Le bruit qui tue

Le canon à ondes sonores (Schallkanone)

Partant du principe que les ondes sonores sont en mesure de causer, à haute fréquence, des dommages pouvant être mortels chez les humains, le docteur Richard Wallauschek – directeur adjoint pour la recherche technique dans une station dédiée à l’origine à la recherche sur les problèmes relatifs à l’artillerie de montagne, devenue institut de recherche acoustique à Lofer, dans le Tyrol autrichien – étudie en 1944 la faisabilité d’une telle arme. Sa recherche est subventionnée par le département de la Planification du Conseil de recherche du Reich (Reichsforschungsrat), sous l’égide du ministre pour l’Armement et les Munitions, Albert Speer.

Des essais se déroulent à l’été 1944, avec toute une gamme d’explosifs. Un chien est tué à 40 mètres de distance par une onde de choc générée par l’explosion de 2 000 kilos d’explosifs. Wallauschek constate que la vitesse de l’onde de détonation provoquée par

l’explosion de 1 kilo de nitroglycérine passe de 2 650 à 830 mètres/seconde à 10 mètres de distance. Il tente alors de concentrer les ondes de pression à l’aide d’un miroir parabolique, donnant naissance au « canon à ondes sonores ».

+ Landser au combat

Les tactiques de l'infanterie allemande

En 1939, la Wehrmacht, mettant en pratique sa doctrine de la guerre de mouvement, tant au niveau opérationnel que tactique, bat l’Armée polonaise malgré son âpre résistance. Plus que la technique à proprement parler, c’est l’utilisation des blindés – non pas, comme dans la plupart des autres armées, engagés par petits paquets en soutien d’infanterie, mais regroupés en sept Panzer-Divisionen et quatre leichte Divisionen – qui a fait la différence.

En outre, les généraux allemands, d’au moins 10 ans plus jeunes en moyenne que leurs homologues polonais, ont affiché une conception plus souple de la guerre, donnant la priorité au combat tactique.

Ces facteurs forment un nouveau style de guerre, mécanisée.

Il est bon de rappeler que les Allemands étaient presque « condamnés » à adopter de telles tactiques s’ils voulaient écraser rapidement l’Armée polonaise et se retourner contre la France avant que celle‑ci ne puisse entrer en lice. C’est le cas, mais la campagne contre l’Hexagone, qui débute huit mois plus tard, laisse toutefois présager des jours plus difficiles. Néanmoins, la doctrine allemande y joue encore à plein, comme le résume le général de Gaulle : « Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous ont fait reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd’hui. »

+ Opération « Lutto »

Opération grand nord

Depuis l’échec de l’opération « Silberfuchs », qui a vu les troupes germano-finlandaises de l’Armee « Norwegen » du Generaloberst von Falkenhorst buter six mois durant sur les défenses de l’Armée rouge protégeant Mourmansk, le front s’est durablement stabilisé devant ce port hautement stratégique, par lequel transite l’essentiel du matériel livré par les Anglo-Américains à Staline. L’emblématique General der Gebirgstruppe Eduard Dietl, qui prend en charge l’Armee « Lappland » (ex‑« Norwegen ») le 14 janvier 1942, sait qu’il n’a quasiment aucune chance de pouvoir enlever la ville tout seul. Il ne désespère pas pour autant perturber le trafic ferroviaire qui en sort. Pour cela, il a un sérieux atout dans sa manche : la compagnie spéciale « Trommsdorf ».

+ L'offensive d'Artois

Le sacrifice de l'infanterie française

La bataille d’Artois, qui se déroule de mai à juin 1915, reste l’une des plus importantes de celles qui sont livrées par les troupes alliées depuis la bataille d’Ypres

(menée en novembre 1914), de part les effectifs en présence et la situation stratégique dans laquelle elle est engagée.

 

Lingua

FRANCESE

Illustrazioni

Riccamente illustrato

Misure

21 x 30

ISBN