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TNT N.66 - LE 8.8 CM FLAK

Codice: 507013066

€ 10,00

Noto periodico francese dell’editore Caraktère ricco di interessanti articoli e abbondantemente illustrato con materiale iconografico anche inedito.

IN QUESTO NUMERO:

+ Schwere Ladungsträger Borgward IV

La torpille terrestre

Peu coûteuses, capables de bloquer une offensive blindée, difficiles à repérer, les mines sont l’un des principaux adversaires des chars de combat. Afin de les neutraliser rapidement, et en faisant courir le moins de risques possible aux démineurs, les Allemands mettent au point toute une gamme de véhicules de démolition susceptibles de dégager une vaste zone en faisant détonner une charge explosive.

+ Tatra OT-810

La vengeance d’Hitler

Après la défaite du III. Reich, les armées européennes exsangues qui n’ont pas bénéficié de la loi américaine du « prêt-bail » leur donnant accès aux ressources de « l’arsenal de la démocratie » cherchent à se rééquiper en matériels modernes. La Tchécoslovaquie choisit alors de récupérer des semi-chenillés transports de troupes abandonnés par la Wehrmacht et de s’en inspirer pour créer un engin « national ».

+ Les 8,8cm Flak lors de la campagne de France

Entre mythes et réalité

En juin 1940, la victoire sur la France est obtenue en un temps record, notamment grâce à l’action retentissante des 8,8cm, que cela soit les pièces tractées ou les Bufla. Les Flak 18/36, surnommés « Acht-Acht », finissent alors ce conflit avec une solide réputation de « sauveurs » et ils vont recevoir leurs lettres de noblesse de la part de la propagande nazie. Mais cette dernière n’a-t-elle pas enjolivé leurs véritables actions ? Retour sur un mythe parfois bien éloigné de la réalité au travers de témoignages allemands et français.

+ Le C.47 sur Vickers-Carden-Loyd Mark VI

L’histoire de l’éléphant et de la puce

Au début des années 1930, la création par l’Armée belge de troupes mobiles destinées à la défense des frontières orientales du royaume provoque un besoin urgent en artillerie antichar mobile. À l’époque, la Fonderie royale des canons, située à Liège, met au point une excellente pièce de 47 mm. Durant la même période, des officiers remarquent la chenillette Mark VI, une création de la firme anglaise Vickers-Carden-Loyd. De l’union de ces deux matériels naît l’un des engins les plus atypiques ayant servi au sein des forces armées belges : le C.47 sur Vickers-Carden-Loyd Mark VI. Ce dernier compte parmi les premiers blindés antichars automoteurs à entrer en service dans une armée européenne.

+ Panzer I

Petit mais indispensable

Avec ses 5,4 tonnes, son armement composé de simples mitrailleuses, son blindage épais (au maximum) de 13 mm, sa hauteur de 1,72 m, le Panzer I est tout sauf impressionnant. Pourtant, son rôle durant la Seconde Guerre mondiale ne doit pas être sous-estimé, car il a formé, dès 1935, toute une génération de Panzerschützen et a permis de mettre sur pied les premières unités mécanisées allemandes et de peaufiner leurs tactiques.

+ Le Tanque Argentino Mediano (TAM)

Ascendance germanique et famille nombreuse

Au milieu des années 1970, la République argentine cherche à remplacer ses nombreux M4 Sherman et les quelques DL-43 Nahuel assemblés localement. Soucieuse de s’octroyer une certaine indépendance dans le domaine des fournitures militaires, Buenos Aires s’oriente vers un char national, mais en dépit de l’expérience acquise avec le Nahuel, son industrie ne possède pas l’ingénierie nécessaire pour mettre au point un matériel moderne. Il est donc décidé de faire appel à des acteurs étrangers pour développer un véhicule de combat dont le châssis doit servir de base à de multiples variantes.

+ Panther II

Mort-né

Aussi protégé soit-il, le Panzer V Ausf. D Panther souffre de la faible épaisseur du blindage latéral de sa tourelle. Par ailleurs, son processus de fabrication s’avère très différent de celui du Tiger II alors en cours de développement, et les Allemands souhaitent, enfin, standardiser leur parc blindé. Dans ces conditions, une nouvelle version du char moyen Panther est mise à l’étude.

+ La protection balistique des chars modernes

L’éternelle course entre la lance et la cuirasse

Si la seule raison d’être d’un char était de porter un canon de gros calibre et de disposer d’une très bonne mobilité tactique, un engin de 25 tonnes suffirait. Ce qui fait que les chars de combat modernes sont tous au-dessus de 45 tonnes, c’est l’impérieuse nécessité de porter une cuirasse qui les met à l’abri des coups. L’apparition des contre-mesures passives (soft kill) ou actives (hard kill) ne change rien à l’équation générale, pas plus que les promesses du blindage « informationnel » et du combat collaboratif. Cet article se propose de faire le point sur les solutions et technologies de blindages modernes pour char de combat.

+ Actualité du monde militaire

- Les nouveaux chars américains

Dans la continuité

Incontestablement, l’US Army aligne l’un des Main Battle Tanks (MBT) les plus puissants du monde avec le M1A2 SEP Abrams. Néanmoins, cette version date de 1999, et une remise à jour est programmée afin de le faire entrer de plain-pied dans le XXIe siècle. Dans le même temps, l’Armée américaine envisage de se doter d’un Light Tank et continue d’étudier des solutions pour une nouvelle génération de blindés plus à même de s’opposer aux productions étrangères, comme le T-14 Armata, plus évolué technologiquement parlant, notamment grâce à son dispositif de protection active.

- K4386 Typhoon-VDV

Remplacer les BMD-2

Jusqu’à présent, les Vozdushno-Desantnye Voyska (VDV ou Forces aéroportées russes) sont équipées de chenillés Boyevaya Machina Desanta 2 (BMD-2, véhicules de combat pour les troupes aéroportées) destinés au transport des parachutistes. Mais mis en service en 1985, ces engins ne répondent plus que partiellement aux besoins tactiques. Misant sur une meilleure résistance aux mines, le ministère de la Défense russe a commandé une version améliorée du véhicule blindé d’infanterie Gaz-2330 « Tigr » tout en s’intéressant à un autre 4x4, le K4386 Typhoon-VDV.

- Le marché indien des Main Battle Tanks

Une chance pour l'industrie militaire française ?

Les sociétés indiennes et étrangères avaient jusqu’au 20 décembre 2017 pour répondre au Request For Information (RFI) destiné à développer et construire 1 770 Future Ready Combat Vehicles (FRCV) pour remplacer la flotte de chars de T-72 des Bhāratīya Thalsēnā (Forces armées indiennes).

- Musée Militaire Park France

Perles rares

Situé dans la commune de La Wantzenau, en Alsace, le Musée Militaire Park France a ouvert ses portes au public le 1er mars 2017 et présente, entre autres, une collection de véhicules militaires tout à fait exceptionnelle, avec de véritables perles, comme un incroyable, par sa rareté, leichte Schützenpanzerwagen auf Unic P107 U304(f).

- Actualité du livre 

Lingua

FRANCESE

Illustrazioni

Riccamente illustrato

Pagine

21 x 30

ISBN